Alma de Roca
Scène voilée de mystère : un regard fuyant, des cornes esquissées, une madone de lumière, une femme nue oubliée, et un ange en silence. Alma de Roca murmure l’invisible douleur de celle qu’on ne voit pas. Tout vacille, sans jamais crier.
Dans une composition vaporeuse aux couleurs douces et vibrantes se déploie une scène silencieuse, presque mystique. Un visage masculin au regard fuyant occupe le centre ; derrière lui, deux pointes à peine esquissées forment des cornes. À sa gauche, une figure féminine auréolée de lumière, digne d’une madone, impose une présence stable et sacrée. Au fond de la scène, allongée, une femme nue repose, vulnérable, tandis qu’un ange glisse vers elle, messager muet venu d’un ailleurs invisible.Alma de Roca parle d’un déséquilibre, d’un lien dissimulé, de l’invisible souffrance de celle qui n’a pas de place. Son titre évoque une dureté cachée sous les apparences. Tout est murmuré, jamais crié.
Scène voilée de mystère : un regard fuyant, des cornes esquissées, une madone de lumière, une femme nue oubliée, et un ange en silence. Alma de Roca murmure l’invisible douleur de celle qu’on ne voit pas. Tout vacille, sans jamais crier.
La fête bat son plein, masques et jazz enivrent la nuit. Mais au cœur de la scène, un invité pleure en silence, figé, verre en main. À l’écart, un ange et un diable, symboles chers à l’artiste, veillent, muets mais révélateurs. Pièce Unique.
Deux vies parallèles : elle, seule chez elle ; lui, dans un supermarché désert. Leurs mondes se frôlent sans se croiser. Couleurs vives, solitude discrète. Un voyage émotionnel entre Paris et Nice, comme un train qui ne s'arrête jamais. Pièce Unique.
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